Gribouillis du lundi
Exposition du Blanc
Descendre un escalier
A Paris.
Descendre un escalier.
Regarder la seine qui est si grise, les péniches qui sont si longues, le ciel qui n’est pas si bleu, les arbre, les passants qui passent sans vous regarder.
Admirer les femmes qui sont si belles.
Et puis croiser une femme qui remonte pendant que vous descendez.
S’arrêter.
Faire demi-tour, ré-escalader quatre à quatre, l’air de rien.
En arrivant sur le quai, essoufflé, la découvrir dans les bras bêtes et musclés d’un bellâtre plus beau que vous.
Râler.
Se dire : Mais qu’est-ce que je fais là ?
Se demander : Mais où j’allais déjà ?
Et redescendre…
Un escalier.
A Paris.
Photo : Madame Rêve
Gribouillis du jeudi
Froid dans le dos
Le rêve du piano
Il y a des fins qui sont agréables.
Ce livre fut mon premier bouquin sans images édité dans ma maison d’édition, un recueil de textes courts comme j’aime et où l’on trouve quelques clins d’œil d’Annabelle, ma compagne virtuelle et littéraire.
Il arrive au bout, il ne sera pas réédité.
Du coup, si vous voulez un des derniers exemplaires, n’hésitez pas, contactez-moi sur mon mail :
creartiss@orange.fr
Je vous donnerai mon adresse pour que vous puissiez m’envoyer 15 euros (Frais d’envoi compris) en chèque à l’ordre des éditions Splogofpft ou en vrais sous.
Et si vous rajoutez un prénom, je vous ferai une petite dédicace dessinée pour la peine.