Gribouillis d’un matin tranquille

Annabelle me regarde et soudain plus rien n’existe.
Je prends un crayon,  je la dessine qui me regarde.
Ma bille court sur le papier, griffonne des yeux une bouche, une épaule, quelques secondes défilent en silence.
Elle sourit.
Mon crayon se pose.
Et la vie reprend son cours…

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